téléphone mobile suite

Publié le par camille

Roger Roselmach, TF1, 07/11/2007-20h20 - PUB télé au JT pour les mobiles.
On pouvait grâce à eux faire des photos, des vidéos, regarder la télé, surfer sur internet et même téléphoner, les mobiles de demain permettront en plus de faire des courses, une expérience pilote à Strasbourg près de 500 personnes qui testent ce nouveau procédé.
Votre téléphone portable c'est déjà un agenda, un appareil photo ou baladeur MP3. Le voici maintenant qui se prend pour une carte bancaire . A Strasbourg depuis un an 450 volontaires l'utilisent quotidiennement dans 90 commerces de la ville, pour effectuer leurs achats, livres vêtements et même brioche à un euro.
Valentine, étudiante.
"C'est pratique comme je l'ai dans la poche, ça m'évite de sortir de mon sac, mon portefeuille, de sortir la carte bleu et le téléphone, on l'a toujours à porté de main."
Le principe est simple, à l'intérieur de l'appareil l'équivalent d'une puce de carte bleue, et une antenne qui communique avec le terminal du commerçant. L'utilisateur rentre son code confidentiel, approche le téléphone, et son compte est débité. Mais dès le 19 novembre, une nouvelle phase d'expérimentation débute. Le montant maximum pour un achat est porté de 200 à 300 euros, et le code n'est plus obligatoire en dessous de 20 euros. Petit plus, bien que cela ne soit pas très bien élevé, vous pouvez téléphoner et payer en même temps.
Jacques Surbriani, Directeur de projet au crédit mutuel.
"Oui allo, une seconde, je suis en train de payer là, une seconde ; bien l'avantage indéniable c'est la rapidité. J'avais mon ticket presque avant d'avoir fini de présenter le téléphone." 
Prévu pour durer six mois, la nouvelle expérimentation va concerner mille client testeurs et 200 commerçants répartis entre les villes de Caen et Strasbourg. Fait unique en Europe, elle impliquera six grandes banques et l'ensemble des opérateurs de la téléphonie mobile.
Laurent Julien, Directeur des projets (sans contacts), Bouygues Télécoms.
"On espère faire tache d'huile et que petit à petit cela puisse être utilisé partout en Europe et dans le monde."
En France le procédé devrait être généralisé début 2009, promis, sans supplément de prix.
Roger Roselmach, TF1, 07/11/2007-20h20
"Sympa ce portable mais il ne faut pas le perdre."
Et voilà, on nous met un jeune cadre bancaire boutonneux sorti de son adolescence, pour venir nous expliquer tous les avantages de son nouveau petit jouet, et pour encourager en plus les jeunes à l'incivilité et à l'impolitesse. Puisque les opérateurs sont si forts pour faire des panels de volontaires, comment se fait il qu'ils aient été incapables de faire dès 1999 un panel de volontaires, pour vérifier au bout de 5 ans, si leurs volontaires n'avait pas été frappés par des cancers, tumeurs du cerveau et neurinomes. La preuve que c'est possible, puisqu'ils sont capables de tester les fonctionnalités des portables, mais visiblement ces opérateurs bourrés de fric, ne sont pas capables de contrôler la santé de leurs cobayes. Les opérateurs comptent sur la fainéantise et bêtise des français, leur inculture scientifique, pour vendre des produits dont on sait qu'ils ont des conséquences sur la santé depuis que le Dr Calo les a mis en en évidence en 1999, et avant lui le Dr Repacholi en 1997, qui a en plus été à chef du projet EMF à l'OMS. Les opérateurs profitent du très faible niveau intellectuel de la population française, et de sa fainéantise pour fourguer sa technologie qu'il prétend inoffensive, mais il n'y a que eux pour le prétendre, et les scientifiques qu'ils payent. Toutes les études indépendantes non financées par les opérateurs mettent en évidence des effets nocifs. 
Le CRIIREM révélait aussi que ceux qui utilisent deux téléphones portables, ont deux fois plus de risque de développer un gliome.
Même chose chez les abonnés depuis plus de 4 ans qui dépassent 260 heures d'utilisation. Après des conversations de plus de 5 minutes le risque de gliome est accru de 80 %. Ceux qui ont dépassé un total de 5000 appels, voient le risquent de gliome augmenté de 50 %. 
Le coût d'intervention d'un gliome en bloc opératoire peut être estimé à 10.000 euros, question, qui va payer ?
Selon vous, ce sont les opérateurs ou tous les contribuables pour des personnes qui comptent sur les autres pour se faire payer leurs frais médicaux. Les statisques concernant les tumeurs du cerveau sont actuellement dissimulé. On sait seulement que le taux des neurinomes a été multiplié par 4 comme pour les cancers de la prostate, en raison des portables à la ceinture ou dans les poches de pantalon.
Lors du colloque du 23 octobre du CRIIREM, des scientifiques suédois du rapport Bioinitiative, ont confirmé que les micro-ondes de la téléphonie mobile avaient des effets nocifs sur la population. Mais ils nous ont aussi déclaré, que si les politiques avaient des GARDES DU CORPS, ce n'était pas le cas des scientifiques. Je rappellerai au passage que le Pr Neil Cherry en Australie avait eu lui aussi des menaces de mort. Le Pr Litovitz au canada déclarait qu'il ne voulait plus travailler avec les opérateurs. A la suite d'une émission au Canada, les opérateurs sont arrivés avec un dataillon d'avocats, mais ils ont été contraints de ressortir ne pouvant contredire et faire un procès pour les faits dissimulés qui avaient été révélés au cours de l'émission. Les chercheurs d'une Université à Washington qui travaillent en plus pour les militaires, ont vu aussi les avocats des opérateurs débarquer. Les chercheurs suédois ont expliqué que les autorités bloquaient les budgets, et que si on les empêchait de faire des recherches sur les effets des micro-ondes, c'est qu'il y avait des CHOSES GRAVES à dissimuler. 
Autre expérience comique durant le colloque du CRIIREM. Une journaliste présente, qui elle aussi a eu des ennuis judiciaires comme par hasard avec les opérateurs, avait amené avec elle un petit appareil qui permettait de détecter les rayonnements. Nous avons toujours écrit sur nos sites et cela dès le départ, que les téléphones portables rayonnent même quand ils sont en veille. Elle s'est donc amusée à tester les téléphones portables des volontaires, et oh surprise, ils rayonnent bien. M. Bouillet qui était avant en charge des aspects santé chez Bouygues Télécom a été contraint de présenter aussi son téléphone potable, et comme tout le monde l'avait présenté, il aurait été très délicat pour lui de refuser, et oh surprise, il rayonnait aussi.
Dernière surprise et elle est de taille, Martine Hours, directrice scientifique à l'AFSSE et à la FSR (on prend les mêmes et on recommence), lors d'un colloque révèlera qu'il ne fallait pas utiliser son portable au delà de 7 minutes. Or comment se fait-il que l'AFSSE dirigé par Mme Védrine, que le Rapport Zmirou de la Direction Générale de la santé (DGS) de 2001, n'ait jamais donné la durée d'utilisation qui ne doit pas être dépassée lors d'une communication téléphonie avec un mobile, alors que nous, nous le donnions sur notre site dès l'année 2000. Nous avons été les premiers en France à parler des risques de la téléphonie mobile sur Internet, en plus d'un autre site belge. Cette information de durée d'utilisation, devrait figurer sur les notices de tous les potables et dans tous les points de vente, car au bout de 10 minutes d'utilisation, vous avez obligatoirement des ruptures sur la barrière hémato-encéphalique, information que Mme Védrine connait, en raison d'une audition sur les expériences menées dans le laboratoire PIOM de M. Bernard Veyret du CNRS à Bordeaux, qui avaient été en plus financés par les opérateurs.
Pour le Wi-fi, les autorités et tous les députés avaient été alertés sur les risques de la norme IEEE 802.11 dès avril 1998 (voir sujet 04-18), les politiques n'ont rien fait, alors que même le Wi-Fi les oreillettes Bluetooth fonctionnent sur exactement la même fréquence que les fours à Micro-ondes. C'est là que nous voyons l'incurie des pouvoirs publics et politiques français et le laxisme des agences de sécurité sanitaires mise en place et renforcée sous le gouvernement Jospin, comme nous avons pu le constater lors de la canicule d'août 2003.
Il est évident que les scientifiques et experts officiels qui connaissaient la vérité sur les risques des micro-ondes et qui ont truqué les rapports, ont fait de la dissimulation avec préméditation, et sont passibles de la cour d'assise, comme en a été informé un ministre. On ne peut exclure que des familles qui ont eu un membre de leur famille décident d'attaquer un jour ou l'autre les opérateurs, sur la base des rapports qui existaient dès 1997, comme celui du Dr Repacholi, et qui démontrait l'apparition de lymphomes sur les souris (voir sujet 10-32). On peut aussi citer le Fax du Dr Carlo aux membres du lobby des télécoms américains de 1999. D'ailleurs après cela le WTR sera dissout. On peut parier que s'il n'avait rien trouvé et avait été dans le sens des opérateurs, le WTR existerait encore aujourd'hui. Quand à la FSR, Fondation Santé Radiofréquence, elle est inféodée, dirigée et financée par les opérateurs, comme le CENELEC, l'ICNIRP et l'IEEE, etc...
Pour des informations plus complètes sur le degré de nocivité de votre portable consulté le site de Marc Filterman
http://membres.lycos.fr/corruptn/gsm.htm voir le sujet numéro 55.
 

Publié dans SCANDALES SANITARES

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