Dépression et troubles bipolaires
Dépression et troubles bipolaires
Causes organiques
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| Il est reconnu qu’une personne touchée par les troubles bipolaires peut avoir une prédisposition génétique. Selon de nombreuses études, il y a une plus forte probabilité, pour une personne, d’être touchée par les troubles bipolaires si des membres de sa famille ont été eux-mêmes atteints de dépression ou d'accès maniaque. L’hypothèse de gènes qui semblent défaillants et favorisant le trouble bipolaire est, au regard des études menées, de plus en plus confortée. |
Causes relationnelles
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| Même s’il existe une prédisposition génétique associée à des anomalies biologiques au niveau des neurones, cela n’exclut pas le rôle joué par les facteurs psychologiques et environnementaux dans les causes des troubles bipolaires chez une personne. Les relations familiales, sociales et professionnelles peuvent être déterminantes dans le déclenchement des troubles bipolaires.
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Causes organiques | |
Il est reconnu qu’une personne touchée par les troubles bipolaires peut avoir une prédisposition génétique. Selon de nombreuses études, il y a une plus forte probabilité, pour une personne, d’être touchée par les troubles bipolaires si des membres de sa famille ont été eux-mêmes atteints de dépression ou d'accès maniaque. L’hypothèse de gènes qui semblent défaillants et favorisant le trouble bipolaire est, au regard des études menées, de plus en plus confortée. |
SYMPTOMES
Tristesse de l’humeur Perte de l’élan vital, du plaisir - Tristesse, pessimisme, envie de pleurer - Somatisation - Irritabilité, agressivité - Idées noires, négatives - Perte de confiance, faible estime de soi - Impression d’inutilité - Culpabilité - Idées suicidaires - Perte du plaisir pour les choses plaisantes habituellement - Baisse de l’appétit, du désir sexuel, de l’envie de voir ses proches - Indifférence, perte d’esprit initiative - Perte de poids - « Envie de rien, plus goût à rien » Ralentissement psychique et moteur Signes associés - Ralentissement des fonctions du cerveau - Impression de manquer d’énergie - Fatigue constante ne cédant pas au repos - Envie de rester au lit, ne plus rien faire - Troubles du sommeil (insomnie) - Anxiété, stress - Hallucinations auditives ou visuelles
L'entourage, un soutien déterminant
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| Parallèlement aux soignants, la famille et les amis ont un rôle prépondérant à jouer pour soutenir la personne souffrant du trouble bipolaire.
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Repérer les signes d'alerte
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Dans le cas d'une dépression, les conséquences peuvent être lourdes. Il est alors bon pour les proches de prendre contact avec les soignants pour accompagner la personne et échanger avec les soignants.
Lors de l’accès maniaque, le contact avec la personne est plus difficile. Il est important de repérer les signes avant-coureurs, de protéger dans la mesure du possible des actes dangereux et de prendre contact avec les soignants : les familles, le médecin, les pompiers, la police peuvent alors intervenir. La loi prévoit des modalités d’hospitalisation sous contrainte lorsque la personne ne peut consentir aux soins. |
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A faire, et ne pas faire...
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| 1/ Ne considérez pas le trouble bipolaire comme un motif de honte ou de désolation : tout comme d’autres maladies, les troubles de l’humeur peuvent être traités. |
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