GOUVERNEMENT SECRET SUITE 4

Publié le par Camille

Les membres du groupe d’étude
Gordon Dean, Président
Professeur Henry Kissinger, Directeur d’étude
Professeur Zbigniew Brzezinski, Directeur d’étude
Professeur Edward Teller Frank Altschul
Maj. Gen. Richard C. Lindsay Hamilton Fish Armstrong
Hanson W. Baldwin Maj. Gen. James McCormack, Jr.
Lloyd V. Berkner Robert R. Bowie
Frank C. Nash McGeorge Bundy
Paul H. Nitze William A. M. Burden
Charles P. Noyes John C. Campbell
Frank Pace, Jr. Thomas K. Finletter
James A. Perkins George S. Franklin, Jr.
Don K. Price I.I. Rabi
David Rockefeller Roswell L. Gilpatric
Oscar M. Ruebhausen N.E. Halaby
Lt. Gen. James M. Gavin Gen. Walter Bedell Smith
Caryl P. Haskins Henry DeWolf Smyth
James T. Hill, Jr. Shields Warren
Joseph E. Johnson Carroll L. Wilson
Mervin J. Kelly Arnold Wolfers
Les rencontres de la seconde phase eurent aussi lieu à la base navale de Quantico, en Virginie, et le
groupe d’étude devint connu sous le nom de Quantico II. Nelson Rockefeller s'était fait bâtir une retraite, quelque
part dans le Maryland, dans un endroit accessible uniquement par avion, de sorte que Majesty douze et le comité
d’étude n'y soit pas importuné par les regards inquisiteurs de la presse et du public. Ce pavillon de campagne,
de son nom de code «Country Club», en plus d'offrir le gîte et le couvert, était doté d'une bibliothèque, de salles
de réunion et d'installations récréatives (l’institut Aspen n’est pas le « Country Club »).
Le groupe d'étude fut «publiquement» dissous vers la fin de 1956 et Henry Kissinger publia, l'année
suivante, un compte rendu «officiel» des sessions sous le titre «Armes nucléaires et Politiques étrangères», édité
par Harper à New-York pour le compte du Conseil des relations étrangères, en 1957. En vérité, Kissinger en
avait déjà rédigé 80% à l'époque où il étudiait à Harvard. Ainsi le comité d'étude pouvait poursuivre ses réunions
en secret. Les commentaires de l'épouse et des amis de Kissinger sont révélateurs du caractère sérieux qu'il
attachait à ces rencontres. Ceux-ci relatent qu'il quittait la maison très tôt le matin et n'y revenait qu'à la nuit
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tombée. Devenu anormalement taciturne, il ne répondait plus à personne, comme s'il vivait dans un monde à part
dont les autres étaient inconditionnellement exclus.
Les révélations faites au cours des sessions d'étude sur la présence des aliénigènes et leurs
agissements avaient dû l'ébranler sérieusement pour qu'il manifestât subitement un tel revirement d'attitude,
autrement inexplicable puisqu'il ne sera jamais plus affecté de cette manière durant le reste de sa carrière, et ce
peu importe la gravité des événements auxquels il sera confronté. Il lui arrivait souvent, en outre, malgré une
journée de travail déjà bien remplie, de prolonger ses activités très tard dans la nuit. Inévitablement, ce mode de
vie le conduisit au divorce.
Un des résultats majeurs des travaux du comité fut de conclure à l'absolue nécessité de ne pas mettre la
population au courant de la présence extranéenne, car le groupe estima qu'il en résulterait à coup sûr un
effondrement de l'économie autant que des structures religieuses, ainsi qu'un déferlement de panique tel que la
nation risquerait de tomber dans l'anarchie. Aussi fallait-il absolument en préserver le secret, et ce non
seulement à l'égard du public en général mais aussi face au Congrès. On allait donc devoir trouver des fonds
ailleurs que dans le gouvernement pour subventionner les projets de recherche. Or, on avait déjà obtenu la
garantie qu'ils seraient assurés, d'une part, par le biais des crédits de l’armée et, d'autre part, au moyen de fonds
confidentiels de la CIA non affectés à son budget.
La décision du groupe d'étude d'occulter le problème avait été motivée par la découverte effarante que
les aliénigènes utilisaient des êtres humains et des animaux pour en extraire les sécrétions glandulaires et
hormonales, les enzymes et le sang et qu’il les utilisaient probablement pour des expériences génétiques. Les
aliénigènes expliquaient que ces actions étaient nécessaires pour leur survie. Ils disaient que leur structure
génétique s’était détériorée et qu’ils n’avaient plus la faculté de se reproduire. Ils disaient que s’ils s’avéraient
incapables d’améliorer leur structure génétique, leur race cesserait bientôt littéralement d’exister. Leurs
explications ont été écoutées avec une suspicion extrême, mais, comme nos armes s'étaient montrées inutiles
contre les aliénigènes, Majesty douze jugea néanmoins préférable de continuer à entretenir des relations
diplomatiques amicales avec ces imposteurs, du moins jusqu'au temps où nous serions technologiquement de
taille à leur imposer le respect. En outre, il vaudrait mieux, pour la survie de l'humanité, joindre nos forces à
celles d'aunes nations, à commencer par l'URSS. Par ailleurs, on avait déjà entrepris un double programme
d'armement, à la fois conventionnel et nucléaire, dans l'espoir de pouvoir un jour traiter sur un pied d'égalité avec
les aliénigènes.
Ces recherches constituèrent les projets JOSHUA et EXCALIBUR. Le premier concernait une arme
capturée chez les Allemands et capable, à cette époque, de faire éclater un blindage de 20 cm d'épaisseur à une
distance de 3 km. Ce dispositif émettait des pulsations sonores à très basse fréquence et on présuma qu'il
pourrait se montrer efficace contre les astronefs extranéens et leurs armes à faisceaux. Excalibur, de son côté,
consistait en une ogive de une mégatonne transportée par un missile téléguidé pouvant s'élever à près de 10
000 m d'altitude relative, atteindre une cible définie sans dévier de plus de 50 m et s'enfoncer à 1000 m dans un
sol tassé et dur comme le tuf calcaire que l'on retrouve au Nouveau Mexique, là où sont enfouies les bases
extranéennes. Joshua fut développé avec succès mais, à ma connaissance, jamais utilisé. Excalibur, pour sa
part, a été négligé jusqu'à tout récemment, alors que des efforts sans précédent lui sont maintenant consacrés.
On dirait au public qu’Excalibur serait nécessaire pour prendre les postes de commandements souterrains
d’U.R.S.S. . Nous savons que cela n’est pas vrai car une règle de guerre est qu’on n’essaie jamais de détruire
les dirigeants. Ils sont utiles, soit pour une reddition inconditionnelle, soit pour négocier les traités. Ils sont aussi
nécessaires pour assurer une transition pacifique du pouvoir et l’acquiescement de la population aux termes des
traités négociés ou édictés. A partir des doutes qu'avaient suscités les activités illicites des aliénigènes, et
redoutant une manipulation de leur part, une minutieuse investigation fut ordonnée à l'égard du secret qui
entourait les événements survenus au début du siècle à Fatima. Les Etats-Unis ont utilisé leurs espions au
Vatican et obtinrent assez vite toute l’étude du Vatican qui incluait la prophétie. Cette prophétie affirmait que, si
l'humanité ne se détournait pas du péché pour se placer sous l'égide du Christ, elle finirait par se détruire après
avoir provoqué les événements apocalyptiques décrits par Jean dans son Livre des Révélations. La prophétie
demandait à ce que la Russie soit consacrée au Sacré Coeur. La prophétie annonçait aussi la naissance d'un
enfant qui rallierait tous les peuples à l'idée d'une paix mondiale mais jetterait les fondements d'une fausse
religion. La plupart des gens discerneraient toutefois le mal dans les intentions de cet homme et reconnaîtraient
bientôt dans sa personne l'identité de l'Antéchrist. La Troisième Guerre mondiale éclaterait au Moyen-Orient
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avec l'invasion de l'Etat d'Israël par une nation des Etats arabes unis. Celle ci utiliserait d'abord des armes
conventionnelles mais déclencherait finalement un holocauste nucléaire. Toute vie sur terre serait condamnée à
d'horribles souffrances qui ne sauraient se terminer que dans la mort. La prophétie s'achève néanmoins sur une
note optimiste en annonçant le retour du Christ.
Lorsqu'on eut soumis ces prédictions aux aliénigènes, ceux-ci en confirmèrent la véracité. Les
aliénigènes prétendirent, en outre, avoir créé l'espèce humaine par croisements génétiques et l'avoir manipulée
par le biais de la religion, du satanisme, de la sorcellerie, de la magie et du spiritisme. Ils expliquèrent plus tard
qu’ils étaient capables de voyager dans le temps, et que ces événements auraient vraiment lieu si les conditions
[NDT: de la prophétie] n’étaient pas remplies. Plus tard, en utilisant la technologie extranéenne, les U.S.A. et
l’U.R.S.S. ont pratiqué le voyage dans le temps, dans un projet appelé RAINBOW, ce qui leur a permis de voir la
prophétie se confirmer. Les aliénigènes montrèrent un hologramme censé représenter la véritable scène de la
crucifixion de Jésus. Le gouvernement a filmé l’hologramme. Nous ne savions pas si nous pouvions les croire.
Cherchaient-ils simplement à nous manipuler à travers nos religions, alors même que notre foi était authentique,
ou bien avaient-ils vraiment inventé nos religions comme moyen de nous manipuler depuis toujours par le biais
de nos croyances? D'autre part,
En 1957 fut tenu un symposium réunissant les plus grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci
arrivèrent à la conclusion que, vers l'an 2000, en raison de l'accroissement de la population et à cause de
l'exploitation de l'environnement, notre planète ne pourrait éviter la destruction sans une intervention divine ou
extranéenne.
Le président Eisenhower émit un décret-loi secret ordonnant à la Société Jason d'étudier ce scénario et
de lui soumettre ses recommandations. Ses recherches ne purent que confirmer la conclusion des hommes de
sciences. En guise de recommandations, la Commission Jason présenta trois solutions alternatives appelées
solutions 1,2, et 3.
Solution 1: Percer la stratosphère en y pratiquant, au moyen d'explosions nucléaires, d'immenses
brèches à travers lesquelles la chaleur et la pollution pourraient s'échapper dans l'espace. Il faudrait éduquer les
mentalités à moins exploiter l'environnement et à davantage le protéger. Des trois solutions, c'était la moins
susceptible de réussir, d'une part, en raison des tendances inhérentes de la nature humaine et, d'autre part, à
cause des dommages supplémentaires que des explosions nucléaires ajouteraient à l'environnement.
L’existence d’un trou dans la couche d’ozone pourrait indiquer le fait que la solution 1 pourrait avoir été essayée.
Ceci n’est en tout cas qu’une conjecture.
Solution 2: Construire un vaste réseau souterrain de villes et de corridors dans lequel une élite de toutes
les cultures et de toutes les sphères d'activités serait appelée à survivre pour perpétuer l'espèce humaine.
Quant au reste de l'humanité, elle serait laissée à elle-même à la surface du globe. Nous savons que ces
installations ont été construites et sont prêtes et en attente des quelques personnes à choisir.
Solution 3: Exploiter la technologie planétaire et extranéenne afin qu'un petit nombre d'élus puissent
quitter la Terre et aller fonder des colonies ailleurs dans le cosmos. Je ne saurais confirmer ou infirmer la
possibilité que des contingents d'esclaves [ NDT : appelés marchandise] aient déjà été expédiés, dans le cadre
de ce projet, en qualité de main-d'oeuvre. La destination première est la Lune - de son nom de code Adam - et la
seconde est Mars - de son nom de code Eve. J’ai maintenant en ma possession des photographies officielles de
la NASA de l’une des bases lunaires. Je pense que la colonie sur Mars est aussi une réalité.
Dans le but d'en retarder l'exécution, les trois solutions furent accrues d'un programme de contrôle des
naissances - incluant la stérilisation - et de propagation de microbes mortels en vue de ralentir l'accroissement
de la population. Le SIDA ne représente qu'un des résultats de ce plan. Il a été décidé par l’élite que puisque la
population devait être réduite et contrôlée, il serait du plus grand intérêt de la race humaine de se débarrasser
des éléments indésirables de la société. Les cibles spécifiques de population étaient les noirs, les hispaniques et
les homosexuels. Les gouvernements américain et soviétique ont rejeté la première solution mais ont
conjointement ordonné d'entreprendre la réalisation des solutions 2 et 3 à peu près en même temps.
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En 1959, la société commerciale Rand organisa un symposium sur les «constructions souterraines à
grande profondeur». Le prospectus contenait des photographies et des descriptions de machines pouvant
creuser des tunnels de 8 m de diamètre à raison de 1,5 m par heure. Ces immenses corridors conduisaient à de
gigantesques voûtes souterraines qui semblaient abriter des installations domestiques et vraisemblablement des
villes. De toute évidence, l'industrie de la construction souterraine avait accompli des progrès significatifs depuis
ses débuts cinq ans auparavant.
Les dirigeants comprirent qu'un des meilleurs moyens de financer les projets clandestins reliés aux
aliénigènes consistait à accaparer le marché noir des stupéfiants. Les anglais et les français avaient établis un
précédent historique lorsqu’ils avaient exploité le marché de l’opium en Extrême Orient et qu’ils l’avaient utilisé
pour remplir leurs coffres et gagner un solide pied-à-terre en Chine et au Vietnam respectivement.
A cet effet, on approcha un jeune et ambitieux membre du Conseil des relations étrangères nommé
George Bush, qui était alors président-directeur général de la société pétrolière texane Zapata, laquelle procédait
à des expérimentations techniques en haute mer. Or, les plates-formes de forage pourraient très bien servir,
estimèrent-ils avec raison, à opérer le trafic de la drogue. Il suffisait, en effet, de charger la contrebande à bord
de chalutiers qui la transporteraient depuis l'Amérique du Sud jusqu'aux plates-formes de forage. De là, il ne
restait plus qu'à l'acheminer vers le continent en empruntant la navette de ravitaillement du personnel régulier
dont la cargaison n'est pas soumise à l'inspection des douanes ni à la surveillance de la garde côtière.
George Bush accepta de collaborer à l'opération avec la CIA. Ce stratagème dépassa si bien les
prévisions qu'il est ensuite devenu pratique courante dans le monde entier, quoiqu'il existe maintenant beaucoup
d'autres méthodes pour introduire des drogues illégales dans un pays. Il faudra donc toujours se souvenir de
George Bush comme ayant fait partie des promoteurs de la vente de stupéfiants à nos enfants. De nos jours, la
CIA contrôle mondialement le marché noir de la drogue.
C'est le président Kennedy qui a lancé le programme spatial «officiel» quand, dans son discours
inaugural, il a confié aux Etats-Unis le mandat d'envoyer un homme sur la Lune avant la fin de la décennie.
Malgré l'honnêteté de ses intentions, ce mandat permit néanmoins aux responsables de couler des sommes
gigantesques vers les projets clandestins tout en détournant le peuple américain du véritable programme spatial.
L'Union soviétique élabora un plan similaire qui visait le même objectif, car, en réalité, au moment même où
Kennedy s'adressait à la nation, les deux superpuissances, de concert avec les aliénigènes, avaient déjà installé
une base conjointe sur la Lune.
Le 22 mai 1962, une sonde spatiale atterrit sur Mars et confirma que l'environnement y était propice à la
vie. Il n'en fallait pas davantage pour qu'on s'y rendît aussitôt fonder une colonie. Je pense qu’il s'y trouve
aujourd'hui des villes peuplées d'individus spécialement sélectionnés pour leurs compétences particulières et
provenant de toutes les cultures de la Terre. Si l'Union soviétique et les Etats-Unis ont, durant toutes ces années,
affiché publiquement des politiques soi-disant antagonistes, c'était simplement pour avoir le loisir de financer des
projets de ce genre au nom de la Défense nationale, puisque, au fond, ce sont les plus grands alliés du monde.
Dans une certaine mesure, le président Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des drogues et
des aliénigènes. C'est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum à Majesty douze, leur enjoignant de faire place
nette, sans quoi il se chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants. De plus, il informa
Majesty douze de son intention de révéler l'existence des aliénigènes à toute la nation l'année suivante. Il leur
ordonna donc de préparer un plan de divulgation conformément à cette décision. Or, Kennedy ne faisait pas
partie du Conseil des relations étrangères. Aussi ne savait-il rien des solutions 2 et 3 ( bien que quelques
personnes aient clamé que JFK était un membre du Conseil des relations étrangères, je n’ai pu trouver aucune
liste légitime où son nom est cité). Au niveau international, les opérations secrètes étaient gérées par un comité
de l’élite Bilderberg connu sous le nom de «Comité des politiques». Aux Etats-Unis, ce comité était supervisé par
le comité exécutif du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S., par une organisation homologue.
La décision du président Kennedy fit l'effet d'une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat fut
aussitôt décrété par le Comité des politiques, puis l'ordre en fut transmis aux agents postés à Dallas. Le
président John F. Kennedy a été assassiné par l’agent des services secrets qui conduisait sa voiture dans le
cortège et l’acte est pleinement visible dans le film Zapruder. Regardez le conducteur et non pas Kennedy quand
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vous voyez le film. Tous les témoins oculaires qui se trouvaient aient à proximité de la voiture présidentielle ont
très bien vu William Greer tirer sur Kennedy, mais tous ceux parmi eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont
subi le même sort que Kennedy dans les deux années qui suivirent son meurtre. Rien d'étonnant, du reste, à ce
que la commission Warren n'ait abouti à aucun résultat concluant puisque la majorité de ses sièges était
occupée par des membres du Conseil des relations étrangères. Par ailleurs, elle a fort bien réussi à obnubiler le
peuple américain.
Quant aux citoyens qui ont osé, entre-temps, lever le voile sur le mystère extranéen, ils ont connu la
même fin tragique. A l’heure actuelle, plus de 200 témoins matériels ou personnes impliquées dans l’assassinat
sont mortes. La probabilité que toute ces personnes soient mortes au hasard est si faible que personne n’a été
capable de la calculer. La probabilité pour que les 18 premiers témoins soient morts dans les 2 ans suivant
l’assassinat a été calculée à une chance contre cent mille milliers de milliard. Vous pouvez commander une
copie du film en envoyant $30+ $4 de frais d’envoi à William Cooper, 19744 Beach Blvd, suite 301, Huntington
Beach, California 92648.
En décembre 1988 j’ai eu une conversation téléphonique pendant laquelle, j’ai dit à John Lear ce que
j’avais vu dans la Marine concernant l’assassinat de Kennedy. Je lui ai dit que les documents Top Secret disaient
que l’acte était pleinement visible dans un film pris dans le public. J’ai dit que j’avais vu un film qui montrait Greer
tirer sur JFK, il y a 16 ans de cela, mais que je n’en avais trouvé aucune copie depuis. J’ai été choqué et très
plaisamment surpris lorsque John m’a demandé : « Voudrais-tu le voir ? ». Moi ? Bien sûr, ai-je répondu par
l’affirmative. Alors John nous a invités, Annie et moi, à venir chez lui à Las Vegas. Nous sommes restés 4 jours
chez John . Non seulement il m’a montré le film, mais il m’en a donné une copie vidéo. J’ai montré cette vidéo à
chaque fois que j’ai parlé à un groupe de personne. Ce film est intitulé Dallas revisité. John m’a dit qu’il l’avait
obtenu par une connaissance à la CIA dont il ne devait pas livrer le nom. J’ai plus tard découvert que l’auteur de
cette version du film Zapruder est Lars Hansson . John Lear montrait ce film à chaque meeting qu’il dirigeait.
Peu après que Lear m’ai donné une copie du film, Lars Hansson m’a appelé et demandé si il pouvait
faire un saut chez moi à Fullerton en Californie. Je lui ai dit qu’il le pouvait et lui ai demandé de m’apporter une
meilleure copie du film si il en avait une. Lars m’a dit qu’il le ferait. Il m’a aussi dit qu’il m’apporterait un film à

Publié dans SOCIETES SECRETES

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