"Un pour tous et tous pour un".

Publié le par Camille

Que tous les hommes de bonne volonté qui veulent que les choses changent s'unissent au lieu de rester en solitaire et choisissent le cri de ralliement des Mousquetaires: 

"Un pour tous et tous pour un". 

Si vous avez aimé ce manuscrit, et même si ce n'est pas le cas, parlez-en à vos amis. Il ne faut pas qu'il dorme sur une tablette, sinon il restera muet à jamais.

Comme je le disais précédemment, plus nous sommes informés, plus nous nous habituons à avoir de l'informa­tion, à en avoir une indigestion. Mais, l'information nous a conditionnés à répétition, à trouver normal les malheurs dans le monde, à trouver normal nos malheurs dans nos propres villes, à trouver normal le malheur de nos proches. Si on prend un exemple: un pauvre qui vient vous voir et vous demande la charité, vous allez lui en donner. Si par contre, vous voyez cent pauvres qui viennent vous voir en même temps pour demander la charité, vous allez les regarder et vous allez dire, je ne peux pas tous les aider. Et puis si je donne à un et pas aux autres, c'est pas correct; donc, je ne donne pas, bonjour. C'est la même chose avec la télévision. On voit dans d'autres pays, la famine, la désolation, la pauvreté mais maintenant c'est monnaie courante. Notre télévision nous fait part des malheurs, des grands cataclysmes et les gens disent: qu'est-ce que vous voulez que j'y fasse, je ne peux rien y faire. Oui, la collectivité peut faire quelque chose. Mais maintenant, les gens du Québec, du Canada, ou des États-Unis sont tellement préoccupés par leurs dettes ou la dette nationale, que maintenant on a l'impression que c'est toujours les mêmes qui paient. Les grosses compagnies, elles, vont faire des dons par ce que c'est bon pour les déductions d'impôts. Elles vont commanditer tel et tel événement sportif car la publicité à la télévision est bonne pour leur image. Mais par contre, enlever la publicité ou enlever les déductions d'impôts, je me demande si ces grosses compagnies, si les Empereurs de la Finance, les hommes gris, auraient au moins le quart de la générosité du simple peuple. Plus nous sommes informés, moins nous sommes sensibilisés. Avant, nous entendions parler d'un cataclys­me: nous faisions des collectes pour leur venir en aide.
De plus en plus, nous sommes dirigés comme des automates. Avec la venue de l'autoroute électronique (j'en reparlerai plus tard), nous allons vers l'esclavage électronique. Déjà maintenant nous sommes dirigés d'une façon quasiment inhumaine. Quelquefois, nous sommes dirigés comme si nous étions du bétail ou des troupeaux.

Chaque être humain a une identité. Quand j'étais jeune, je me suis plusieurs fois objecté au fait qu'à l'usine, au lieu de m'appeler Pierre-Paul, on m'appelait 1683 vous êtes demandé au bureau. Je ne répondais pas car mon nom n’était pas 1683. J'ai très bien fait comprendre à la direction que mon nom n'était pas 1683. Maintenant, la plus part des gens marchent par numéro; c'est plus facile à coder dans un ordinateur.

Dans les années 1950, on a fait des films de science-fiction où l'homme était dominé par le robot. Souvent, on s'est imaginé le robot qui essaierait de dominer l'être humain; posséderait des bras, des jambes, etc. Mais, à l'heure actuelle, le robot qui domine l'être humain a maintenant un écran et l'être humain a maintenant un numéro.

On essaie de nous berner en disant que c'est plus pratique. Que l'on est capable de nous donner de plus en plus de service avec les ordinateurs. Nous sommes, de plus en plus, les esclaves de ces ordinateurs. Essayez de discuter, de faire comprendre le bon sens à un ordinateur quand il n'est pas programmé pour discuter avec nous.

Aujourd'hui, vous allez à l'assurance chômage comme à bien d'autres endroits où avant on se devait de vous donner un certain service de plus en plus on transmet le service que vous payez chèrement à un ordinateur et puis, on fait des mises à pied massive pour remplacer les gens par des ordinateurs sous prétexte de nous donner plus de service, non, c'est pour augmenter la rentabilité et le placement de nos Empereurs de la Finance. Seulement à la banque où je vais présentement, on a enlevé des caissières et de plus en plus on me dirige vers l'ordinateur, le guichet automatique, pour couper du personnel.

On le sait, dans une entreprise, le personnel coûte cher comparativement à un ordinateur, une fois installé; l'entretien, c'est tout. On essaie de nous diriger, de plus en plus, vers les ordinateurs et on fait des mises à pied massive. Aujourd'hui c'est le tour des caissières d'être remplacées, c'est le tour de tous les gens qui travaillent, des petits fonctionnaires, des travailleurs qui ont besoin d'un emploi pour vivre, pour manger. Les Empereurs considèrent que c'est plus rentable, plus payant un ordinateur. Donc, on se dirige vers un monde inhumain qui va appliquer les règlements d'une façon inhumaine. Et on ne fait rien pour empêcher cela, on regarde cela, on subit cela et de surcroît, on s'en sert de plus en plus!

Le but du manuscrit va dans ce sens; sensibiliser la population à tout ce qui s'en vient et de se protéger contre la venue de nos envahisseurs, nos futurs maîtres programmés par nos Empereurs de la Finance car pour eux, la seule chose qui compte, ce n'est pas la vie, ni la qualité de vie, c'est la rentabilité de leurs placements à n'importe quel prix. J'expliquerai plus tard le rôle d'un Empereur. Est-ce cela que nous voulons pour notre avenir? Nous voulons vivre comme des automates?

http://www.justiceplus.org/ordinateurs.htm

Publié dans DIVERS

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