Le lien entre grippe et HIV

Publié le par Camille

Le lien entre grippe et HIV

À ce stade, nous souhaitons souligner que le virus responsable de l’ensemble de maladies appelé grippe a de proches parents qui valent la peine d’être mentionnés. Laissons Lodish et al. nous l’expliquer : « Certains virus animaux, dont le virus de la grippe, le virus de la rage et le virus de l’immunodéficience humaine (VIH), possèdent une membrane extérieure constituée d’une bicouche phospholipidique, ou enveloppe, entourant le noyau de la particule virale composé de protéines virales et de matériel génétique. »5 Alors, existe-t-il quelque lien mystérieux entre la grippe et le VIH ? Sommes-nous en train de toucher du doigt les liens établis entre les travaux du Dr Couch, le spécialiste de la grippe, et ceux du Dr Chanock, le spécialiste du sida ? Après tout, ils ont travaillé ensemble dès 1964 lorsque mycoplasma pneumoniae était au centre de leurs préoccupations…

Le mycoplasme.
Poursuivons notre quête de la vérité sur la grippe. Le troisième pathogène, le plus important bien que le plus négligé des trois, est le mycoplasme (ci-contre).
Même si l’OMS et d’autres organismes de « santé » veulent vous faire croire que le virus de la grippe aviaire (le H5N1) est redoutable, c’est le mycoplasme que l’humanité doit redouter. Nous vous rappelons que le monde de la médecine officielle ne souhaite apparemment pas que le citoyen moyen ait connaissance de l’existence d’un tel organisme.
Permettez que nous vous montrions une représentation miniature du mycoplasme. Commencez par regarder la bactérie. Remarquez qu’elle possède des ribosomes qui, comme nous l’avons vu, contribuent à la fabrication de l’ARN, et notez en outre qu’il arrive que des particules de cet ARN se détachent après la mort de la bactérie et se protègent en se rassemblant en groupes de huit fragments d’ARN qui sont ensuite enfermés dans une matrice protectrice et une membrane cellulaire, et voilà : vous avez le virus de la grippe !
Maintenant, examinez de nouveau la bactérie et remarquez la chaîne d’ADN. Si la bactérie est tuée, non seulement l’ARN tente de sauver sa peau sous forme de virus, mais les particules de cet ADN cherchent elles aussi à survivre en tant qu’organismes vivants en formant une membrane et en partant à la recherche, au sein de leur environnement, d’une autre cellule hôte qui les laissera entrer et les hébergera. Là encore, cette particule d’ADN d��pourvue de paroi cellulaire devient une forme de vie autoréplicative mais quelque peu incomplète, connue comme une espèce de mycoplasme !
Ainsi, comme le Dr Shmuel Razin, microbiologiste, le décrit, l’idée sous-jacente au schéma évolutif actuel des mycoplasmes est celle d’une dégénérescence des bactéries à paroi6.
Ainsi, au départ, une espèce de « bactérie à paroi », qui pour une raison quelconque (comme l’action de la pénicilline) se désagrège (évolution dégénérescente). Puis, des particules choisies de l’ADN bactérien se mettent rapidement en quête d’une autre cellule dans laquelle elles pourront élire domicile. C’est presque un virus, sans la capside protectrice que nous avons remarquée plus haut.
Dans la mesure où il s’agit presque d’un virus, des chercheurs tels que Carleton Gajdusek en 1976 lui ont donné le nom de « virus non conventionnel », sans se rendre compte qu’il s’agissait du même micro-organisme que celui découvert par Nocard et Roux de l’Institut Pasteur en 1898 et baptisé « mycoplasme ». En 1944, Monroe Davis Eaton, un microbiologiste américain, est tombé sur cet organisme et lui a donné son nom : l’agent « Eaton ».

Inoffensif tant qu’il n’est pas traumatisé

En étudiant la source pathogène d’une pneumonie atypique chez les recrues de la marine américaine au milieu des années 40, le chercheur sur le sida Robert Huebner a appelé ce micro-organisme « organisme de la pleuropneumonie ». En 1946, lorsqu’il a découvert ce même pathogène dans les amygdales dégénérescentes de certaines recrues, il lui a donné le nom d’« organisme similaire à la pleuropneumonie » (PPLO).
Enfin, la maladie semblait mettre tant de temps à se déclencher que plusieurs chercheurs dont Gajdusek ont baptisé ce pathogène « virus lent » ou « lentivirus », terme inventé en 1947 par le Dr Björn Sigurdsson.
Ainsi, aujourd’hui, nous avons affaire au microorganisme original de Nocard et Roux, le mycoplasme, qui apparaît dans la documentation sous le nom d’« agent Eaton, d’« organisme similaire à la pleuropneumonie », de « virus non conventionnel », de « lentivirus », et plus tard de « substance amyloïde » et enfin de « prion ». À notre avis, cette multiplicité d’appellations, et la confusion qui en résulte, n’est pas totalement innocente.
Lorsque le mycoplasme trouve une cellule qui lui permet de franchir la membrane cellulaire, il se tient généralement tranquille, sans faire le moindre mal à son nouvel hôte jusqu’à ce qu’il subisse un quelconque traumatisme.
Le corps dont la cellule fait partie peut être victime d’une collision arrière ou être traumatisé par une chute sur la glace. Le simple fait d’apprendre le décès d’un ami très cher peut provoquer un traumatisme suffisant pour réveiller le mycoplasme dormant.
Lorsqu’elles sont ainsi activées, certaines espèces de particules mycoplasmiques d’ADN commencent à absorber les stérols préformés de leur nouvel hôte, finissant par tuer ce dernier. Le tout peut être qualifié d’« infection mycoplasmique » et se présenter, par exemple, sous la forme d’une pneumonie, dans laquelle les cellules des poumons commencent à dégénérer et à libérer du liquide qui inonde les alvéoles, les cellules contenant l’air à l’intérieur des poumons.
Les dommages mycoplasmiques sont aussi importants, sinon plus, que les dommages bactériens et viraux causés à un patient grippé.

Ne vous trompez pas de danger

Ceux qui croient au tapage actuel sur une mutation du virus de la « grippe aviaire » qui serait en train de provoquer une pandémie mondiale et pensent que les nobles et courageux employés de l’Organisation mondiale de la santé et leurs agents de presse du New York Times font tout leur possible pour sauver l’humanité, sont à mettre dans le même panier que ceux qui croient encore que Lee Harvey Oswald a agi seul dans l’assassinat du Président Kennedy.
Attention, il pourrait bien y avoir une pandémie mondiale et il se pourrait qu’elle tue des milliers de personnes par jour sur un certain laps de temps. Mais les chances qu’elle soit due à une espèce mutante isolée (H5N1) d’un virus de grippe aviaire sont infimes voire nulles, alors qu’il y a de très fortes chances qu’il s’agisse d’une infection mycoplasmique. Si une telle pandémie survient, la cause en sera bien plus profonde qu’un simple virus aviaire mutant. Elle résidera très certainement dans les mystères du mycoplasme, ses caractéristiques et sa prévalence grandissante. Nous pensons qu’une telle pandémie, si elle doit se produire, ne sera pas le fruit du hasard, comme on veut nous le faire croire à propos de la pandémie de sida et du syndrome de fatigue chronique (SFC).
Une pandémie de grippe sera un événement tout aussi programmé que le lâcher du sida et du SFC sur le monde : elle fera partie d’un programme de longue haleine visant à réduire la population mondiale.

•Une partie de l’humanité déjà contaminée ?
Lorsque nous avons commencé à passer en revue la documentation disponible sur la grippe et à préparer un numéro spécial du Journal of Degenerative Diseases, nous pensions, comme la plupart des autres habitants de la planète, que nous avions là une autre maladie humaine ancienne sévissant sous forme de pandémie à peu près tous les onze ans.
En termes clairs, nous avons pris conscience qu’il se tramait quelque chose à l’��chelle planétaire et que le prétexte de la grippe aviaire H5N1 contribuait non seulement à faire avancer le projet mais permettrait aussi après coup aux prophètes de malheur de dire, « Eh bien, nous aurons au moins essayé de vous prévenir ».
Nous avons relu le module de la Uniformed Services University of the Health Sciences du Dr Shyh-Ching Lo sur le mycoplasme pour la dixième fois… et nous avons soudain compris le véritable sens de l’un des paragraphes de ce module. Voici le paragraphe en question : « La forme la plus grave de l’infection M[ycoplasma] fermentans est celle d’une maladie systémique fulminante qui commence comme une grippe. Les patients voient leur état de santé se détériorer rapidement, développant de graves complications parmi lesquelles le syndrome de détresse respiratoire aiguë, la coagulation intravasculaire disséminée, et/ou l’insuffisance multiorganique. »7
Maintenant, notez bien ceci : ce n’est pas la grippe, mais une « maladie semblable à la grippe » que tout le monde pourrait en toute bonne foi confondre avec la grippe – mais ce n’est pas la grippe, et elle n’est pas due à la souche H5N1 du virus de la grippe aviaire. Elle est due à un pathogène breveté par le gouvernement des États-Unis !
Ainsi, si une pandémie de « grippe » frappe et si certains médecins essaient de traiter ce qui semble être une pneumonie bactérienne avec de la pénicilline, cette dernière ne fera qu’aggraver l’infection mycoplasmique ! Nous pensons qu’une bonne partie de l’humanité a déjà été contaminée par un agent infectieux mycoplasmique administré dans les innombrables vaccins qui nous ont été imposés au fil des années. D’autres vaccins pourraient être pareillement contaminés.
Votre médecin et vous-même penserez que vous avez la grippe aviaire alors que vous aurez en réalité la maladie du mycoplasme semblable à la grippe…et qu’elle tuera des milliers de personnes si elle n’est pas reconnue.

À propos des auteurs

• Donald W. Scott, Maître ès Arts et Sciences (né en 1924) est l’ancien président de la Common Cause Medical Research Foundation. Il possède une maîtrise ès arts de l’université Laurentienne de Sudbury, au Canada, et une maîtrise ès science de l’université de Guelph, à Guelph, au Canada. Vous pouvez le contacter par téléphone au +1 (705) 670 0180. • William L. C. Scott (né en 1955) est l’actuel président de la Common Cause Medical Research Foundation et le rédacteur en chef du Journal of Degenerative Diseases. Titulaire d’une licence ès arts (avec mention) de l’université Laurentienne, c’est l��ancien président de l’Association des étudiants de l’université Laurentienne. Il est président et premier dirigeant d’Executive Services Limited et termine actuellement ses études de conseiller en naturopathie. Vous pouvez contacter William Scott par téléphone au +1 (705) 673 0726.

• Donald Scott et William Scott sont les auteurs de Life: From Plants to Animals to Us (Chelmsford Publishers, Sudbury, Ontario, 2005, ISBN 0-969222-6-4). Leur article a été publié pour la première fois sous le titre « Influenza: Give Up Something Old For Something New » dans The Journal of Degenerative Diseases, vol. 6, n° 3 & 4, 2006 et révisé pour sa publication ici. Vous pouvez contacter les Scott à la Common Cause Medical Research Foundation, PO Box 133, Stn ’B’, Sudbury ON P3E 4N5, Canada. 77

Notes

1. Nous avons exposé certaines de ces preuves dans The Journal of Degenerative Diseases (vol. 5, n° 3, automne 2004) et dans notre dernier livre Life: From Plants to Animals to Us, nous n’y reviendrons donc pas ici.
2. Parmi les rapports les plus authentiques et les mieux documentés sur l’usage des armes biologiques par les Américains durant la Guerre de Corée, citons The United States and Biological Warfare de Stephen Endicott et Edward Hagerman, publié par Indiana University Press, 1998.
3. Webster’s New Explorer Medical Dictionary, 1999, p. 60.
4. Webster’s New Explorer Medical Dictionary, p. 747.
5. Molecular Cell Biology, W.H. Freeman, New York, 2000, 4e édition, p. 713.
6. Mycoplasmas: Molecular Biology and Pathogenesis, éd. Jack Maniloff et al., American Society for Microbiology, Washington, DC, 1992, p. 4.
7. The Journal of Degenerative Diseases, vol. 5, n°2, p. 28).

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M
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H
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