Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 263 à 268 )

Publié le par Camille

CLICHÉS DE LA NASA DU PÔLE NORD [1/3]
Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 263 à 268 )
Quand la NASA a remplacé en 1977, au bout de 10 ans de service, le satellite géostationnaire ATS III par un satellite plus moderne, le GEOS 8, elle a ordonné la destruction des 4500 clichés faits par ART III. Les images n'auraient « aucune valeur météorologique », prétendait la NASA. Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département, le Dr Locke-Stuart, a ramené chez lui plus de 1000 clichés et il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc?
Jan Lamprecht, spécialiste en informatique et originaire d'Afrique du Sud, pense en connaître la raison. Depuis des années il est à la recherche de tous les indices qui pourraient prouver que les planètes sont creuses et qu'elles ont des ouvertures à leurs pôles. Il a mis par hasard la main sur une photo prise par l'ATS III, qui montre clairement une dépression en forme de tourbillion dans la région du pôle. Grâce à ses contacts avec le "Goddard Space Flight Center", la station de contrôle des satellites ATS, il a pu se procurer un autre cliché. Cette image, prise de côté, montre qu'à l'endroit où se trouve le pôle, il y a en fait un trou dans le globe terrestre.
Après des semaines de longues recherches, un initié de la NASA a découvert pour Lamprecht d'autres clichés qui montrent une ouverture au pôle, il a pu démontrer qu'ils ont également été pris par l'ATS III et qu'ils sont soigneusement gardés par Locke-Stuart. Stuart se montre très réservé sur ces clichés « sans valeur », et il ne les montre pas volontiers.
Les images prises par le satellite GEOS 8 ne montrent plus de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange. Même la courbure de la Terre est complètement arrondie. Sur les anciens clichés d'ATS III, on voyait une nette courbure, qui n'existe pas officiellement. Cette courbure « inexplicable » a un sens, quand on sait que les pôles terrestres sont aplatis, car la Terre se courbe vers l'intérieur, en direction de l'ouverture. Les photos d'ATS III montrent également des dépressions atmosphériques, comme si des masses d'air et des nuages étaient aspirées par l'ouverture des pôles. On ne voit rien de tout cela sur les images récentes de GEOS 8.
Richard Hoagland, auteur du best-seller "The Mars Connexion", pense en connaître la raison. Dans une interview de 1977, diffusée dans le "Art Bell Show", il disait que les photos étaient censurées avant d'être montrées à l'opinion publique. Toutes les images envoyées par les satellites météorologiques passent dans un grand ordinateur qui corrige les phénomènes qui ne correspondent pas à la doctrine officielle. Après quoi les clichés sont renvoyés dans l'espace vers un autre satellite qui les retransmet à la Terre. C'est seulement à ce stade que les clichés (falsifiés) sont disponibles pour le public. Il n'y a que la NASA qui a accès aux données envoyées par le premier satellite. Il y a des voix qui s'élèvent pour dire qu'en Europe les photos des satellites sont également truquées, pour cacher l'ouverture des pôles à l'opinion publique.
Pourquoi cette manipulation n'a-t-elle pas été faite sur les images d'ATS III ? Jan Lamprecht pense que la NASA a fait une erreur en calculant l'orbite du satellite. La Terre est beaucoup plus plate au pôles qu'on ne le pensait, l'ouverture n'est donc pas invisible à l'horizon, on peut la voir à partir d'un angle très fermé. C'est la raison pour laquelle ATS III a pu prendre des images qui montrent que des nuages et des brumes entrent et sortent par l'ouverture polaire. Comme personne n'avait semblé le remarquer, on a renoncé à un truquage, en décidant de détruire les clichés quand on changerait de satellite.
C'est pourquoi il ne faut pas s'étonner de la difficulté à se procurer des cartes du pôle Nord. Dr. Rosner, responsable de la faculté de géographie de Tübingen, en Allemagne, a reconnu que la courbure de la Terre dans l'Arctique fait partie des secrets militaires. Même la cartographie de l'océan Arctique, effectuée par les sous-marins atomiques, est protégée par le secret-défense. En tant que particulier, il est difficile voire impossible, de se procurer des images des pôles. Quand Lamprecht a voulu acheter une carte de l'Antarctique auprès d'une entreprise sud-africaine spécialisée, l'ordinateur lui a répondu que ces cartes n'étaient pas disponibles, étant sous le sceau du secret-défense.
La raison en est simple. Le pôle Sud a également une ouverture vers le centre de la Terre. Des vents chauds et des courants s'échappent en direction de l'océan polaire. On ne peut exprimer autrement les polyanas de la mer de Weddell. Ce sont des zones dans l'océan où l'eau est si chaude que la banquise fond et découvre la pleine mer. Un météorologue européen estime que la température aux pôles est au moins supérieure de 30° de celle communément admise par la position géographique et les données météorologiques.
Donald Pue, médecin et ingénieur en électronique américain, défenseur de la théorie de la Terre creuse, a dit ceci lors d'une conférence à Berlin en 1992 : « En 1985 j'ai pu participer à une conférence de Ron Evans, l'astronaute qui était aux commandes du module lunaire de la mission Apollo 17. Comme je le regardais de côté, j'ai remarqué quelque chose d'étrange au moment où il a commencé à parler face à la caméra. Derrière lui, il y avait une grande photo de la Lune et un peu plus en arrière une photo de satellite montrant la Terre. On y voyait l'hémisphère nord, et j'ai vu que quelque chose était différent. J'ai vite compris. La photo avait été prise à un moment où il n'y avait pas de nuages au-dessus de l'Arctique. On reconnaissait la ceinture de glace et au milieu on voyait distinctement un trou noir ! Là où il y a l'océan. À la fin de la conférence, j'ai été voir Evans, nous avons échangé quelques mots. Je lui ai demandé pourquoi cette photo rare de la NASA n'était pas montrée plus souvent. Il a aussitôt retourné la photo et est parti en s'excusant ».
Selon Donald Pue, il existe un projet scientifique américain secret qui a démontré depuis longtemps que toutes les planètes sont creuses et qu'elles ont été créées par la théorie des vortex. Des preuves photographiques ont été livrées par les satellites militaires du projet DODGE, qui étudiait la gravitation.
Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond avec la force de gravitation, ou du moins avec la version officielle. La Loi qui a été formulée par Newton et qui est toujours valable, semble ne pas être applicable à l'extérieur de notre système solaire. Même pour de courtes distances de quelques centimètres la loi de Newton échoue, comme l'ont montré des expériences. À cela s'ajoute le fait que la constante de gravitation « G » augmente de façon anormale quand on fait des expériences dans les profondeurs de la Terre. Cela ressort d'expériences faites au Groenland et en Australie. Le Prof. Saxl, de Harvard, a constaté que la gravitation peut être influencée par des forces électriques, on ne sait pas exactement comment.
Pour résumer, il est impossible de déterminer le poids et la densité de la Terre en ne considérant que les théories de la gravitation et de la masse, comme c'est pratiqué actuellement. Il n'y a qu'une chose que l'on peut affirmer, c'est que le poids et la densité de la Terre sont beaucoup moins élevés que ce qui est admis par la science. La théorie d'une Terre creuse est donc tout à fait envisageable, car la théorie du noyau de la Terre fait de fer et de nickel ne s'appuie que sur une densité de la Terre élevée. Les sismologues pensent que le noyau est en fusion. Ils s'appuient pour cela sur le fait que les ondes sismiques ne peuvent se mouvoir qu'à travers de la roche solide. Bien que l'on ait fait exploser plusieurs bombes à hydrogène pour faire des mesures précises, il n'a pas été possible jusqu'à maintenant de suivre des ondes sismiques à travers le noyau terrestre. Les expériences ont montré que les ondes sont détournées par le noyau, ou qu'elles le contournent. C'est pour cela que l'on a admis que le noyau devait être en fusion, car la loi de Newton semblait infaillible.
Une hypothèse qui est précipitée. Les expériences montrent seulement qu'il n'est pas solide. Il pourrait très bien être gazeux ou vide. Des hypothèses erronées conduisent toujours à des interprétations erronées. Si le scientifiques partaient du fait que la Terre est creuse, ils pourraient tirer du comportement des ondes sismiques des conclusions intéressantes sur l'épaisseur réelle du manteau terrestre.
Les tremblements de terre sont une preuve supplémentaire de la théorie de la Terre creuse. Selon la science, la croûte terrestre solide mesure environ 50 Km d'épaisseur. En-dessous la matière est visqueuse. Il est donc impossible que la pression qui déclenche les tremblements de terre se constitue en-dessous de 50 km. Malheureusement, plus de 60 000 tremblements de terre ont leur épicentre à une profondeur supérieur de 50 km! Certaines secouses ont eu lieu à plus de 600 km de profondeur. C'est impossible si le centre de la Terre est à l'état non solide en-dessous de 50 km. L'explication de certains sismologues selon laquelle les plaques lithosphériques auraient été poussées jusqu'à une telle profondeur n'est pas convainquante.
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Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 256 à 258)
... une chose est évidente, la Terre est creuse. Et il est évident qu'il y a deux ouvertures géantes à chaque pôle. Des photos secrètes de la NASA montrent bien qu'il s'agit d'une réalité. Les ouvertures mesurent environ 2250 km chacune. Mais voilà, qu'en est-il d'Amundsen qui a atteint en premier le pôle Sud, et qui y a planté un drapeau dans la glace. Et qu'en est-il des nombreux avion de ligne qui survolent quotidiennement les pôles? Les pilotes confirment que l'on ne survole jamais le pôle géographique, que les avions ne dépassent pas les 83° de latitude. Comme les boussoles ne fonctionnent plus correctement à partir de 70° de latitude, les compagnies aériennes utilisent le système de navigation INS, qui dépend du magnétisme terrestre (on entre la position de l'avion avant le décollage, l'ordinateur calcule la route la plus courte, en fonction de l'accélération et de l'altitude).
Alors qu'à l'école on apprend toujours que le pôle Nord magnétique est un point précis, des scientifiques ruses ont découvert depuis longtemps qu'en réalité c'est une ligne magnétique de 1 500 km de long qui entoure l'ouverture du pôle. Elle s'étend du Canada jusqu'à la presqu'île sibérienne de Taimyr et continue plus faiblement sur 1500 km. C'est ce qui peut expliquer le phénomène étrange que rencontrent les marins qui dépassent le 83° de latitude Nord. L'aiguille de la boussole est collée contre le verre de protection. Certains explorateurs sont descendus à l'intérieur de l'ouverture polaire, l'aiguille de leur boussole s'est redressée à la verticale, car le ligne magnétique se trouvait au-dessus d'eux, le long de l'ouverture.
L'intensité de cette ligne magnétique n'est pas la même partout. Il n'y a qu'un seul endroit où elle est amplifiée. Cette zone se déplace continuellement, elle fait le tour de l'ouverture polaire en 235 années. Le pôle magnétique se décale de 30 km par an, comme la science l'a reconnu. Au cours de leurs expéditions polaires, il était impossible aux explorateurs de voir cette ouverture de leurs yeux. Comme la surface de la Terre se courbe vers l'intérieur, sur une distance de plusieurs centaines de kilomètres, l'oeil ne peut s'en rendre compte, si ce n'est que la ligne d'horizon se raproche de plus en plus. Mais comment le distinguer dans une mer de blanc éternel? Surtout que les conditions lumineuses sont particulières, le brouillard masque la vue, tout se fond dans le blanc, et la lumière rougeoyante d'un soleil tamisé se répand à partir d'un point fictif erroné.
N'est-il pas étrange qu'à une époque où l'on peut faire des photos détaillées de Saturne et de Mars, il ne soit pas possible de faire des photos satellite des zones polaires? D'autant plus qu'il ne semble pas difficile de localiser le trou d'ozone au-dessus de l'Antarctique et de le photographier. Celui qui veut se procurer des images des 2 pôles trouve toujours le même genre de clichés, une bouille de nuages blancs qui masque la vue, ou une surface ronde et plate qui représentent soi-disant ces pôles. La Terra incognita commence au 83° de latitude nord, là où débute l'ouverture du pôle.
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MAJESTIC 12 [1/4]
Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 299 à 303 )
... Nelson Rockefeller avait changé de poste. On lui avait confié le poste de chargé de mission des stratégies psychologiques. Le nom a changé quelque peu pour devenir ensuite chargé de mission des stratégies de la guerre froide. Le poste devait se développer dans les années à venir et Kissinger et Nixon l'ont occupé pendant un temps. Officiellement, il avait un rôle de consultant dans le développement de la compréhension et de la coopération entre les peuples. C'était en fait une couverture. En réalité, c'était un poste de coordinateur de la présidence pour les services secrets. Dans cette nouvelle position, Rockefeller n'avait à rendre des comptes qu'au président, personnellement. Il participait aux réunions du cabinet, du CFR et du Conseil national de sécurité, les organes qui dictent la politique officiele.
On a confié à Rockefeller un autre poste, celui de responsable d'un département secret, le groupe de Planification et de Coordination, qui a vu le jour avec la directive NSC 5412/1 de mars 1955. Ce groupe était constitué de membres non permanent, qui dépendaient de l'ordre du jour. Les membres permanents étaient Rockefeller lui-même, un membre du ministère de la Défense, un membre du ministère des Affaires étrangères et le directeur de la CIA. Cette commission a pris le nom de Commission 5412. La directive NSC 5412/1 prévoyait que les opérations secrètes devaient être validées par une commission exécutive, alors qu'auparavant de telles opérations ne nécessitaient que la signature du directeur de la CIA.
La directive secrète du président, la NSC 5510 avait précédé la NSC 5412/1, elle avait institué MAJESTIC 12. Cette commission devait superviser toutes les activités autour des phénomènes extranéens. La NSC 5412/1 ne faisait que justifier les nombreuses réunions, si jamais la presse ou le Congrès devenaient curieux.
MAJESTIC 12 était composée de N. Rockefeller, du directeur de la CIA, Allen W. Dulles, du ministre des Affaires étrangères John F. Dulles, du ministre de la Défense Charles E. Wilson, de l'amiral arthur W.Radford, responsable du Joint Chiefs of Staff, du directeur du FBI, Edgar Hoover, du Dr. Teller etde 6 membres du directoire du CFR, connus comme étant les « sages » du groupe JASON.
Le groupe JASON est, comme nous l'avons vu dans le chapitre sur les Illuminati, la commission scientifique qui a été formée pendant le Manhattan Project, et qui est administrée par la Mitre-Corporation. Les « sages x sont des hommes-clé du CFR, ils sont membres de la JASON Socyety. La commission MAJESTIC 12 comprenant 19 personnes. Le règlement interne prévoyait qu'une motion était acceptée si elle recueillait au moins 12 voix - d'où le nom Majority 12.
Cette commission était constituée de hauts fonctionnaires et de directeurs du CFR, puis plus tard de la Commission trilatérale. Gordon Dean, George Bush et Zbigniev Brzezinski en ont fait partie. Les « sages » les plus influents, qui ont pris part aux décisions de MAJESTIC 12, sont Jhon Cloy, Robert L. Harriman, Charles Bohlen, Georges Kennan et Dean Acheson. Leur influence politique s'étendra jusque dans les années 70. Il est significatif de constater qu'Eisenhower et les 6 membres du gouvernement qui faisaient partie de MAJESTIC 12 étaient également membres du CFR. Le groupe le plus puissant qui compose le gouvernement est contrôlé par une organisation qui appartient aux Illuminati.
Des chercheurs sérieux découvriront bientôt que tous les « sages » ne sortent pas de Harvard ou de Yale, qu'ils n'ont pas été choisis en fonction de leur appartenance aux Skull & Bones ou aux Scroll & Key. Certains membres ont été recrutés en fonction des services qu'ils ont rendus avant leurs études universitaires. Plus tard, quelques élus ont été admis au sein de la JASON Society. Ils appartenaient au CFR et étaient connus sous le nom de : "Eastern Establishment". Cela devrait vous donner des indices sur l'importance et l'influence qu'ont la plupart de ces sociétés secrètes universitaires. La JASON Society continue à prospérer aujourd'hui, elle compte dans ses rangs des membres de la Trilatérale. Ceux-ci existaient déjà en 1973, mais c'était un secret. Le nom de Trilatérale a un rapport direct avec le drapeau des extranéens.
La commission MJ12 existe encore aujourd'hui. Sous les présidences Eisenhower et kennedy, cette commission a pris le nom de Commission 5412 ou Groupe spécial, ce qui peut induire en erreur. Sous la présidence Johnson, elle est devenue la Commission 303, car le [but du ?] nom de 5412 avait été atteinte. En réalité, l'existence de 5412 avait été communiquée pour masquer l'existence de la NSC 5410. Sous les présidences de Nixon, Ford et Carter, elle s'appelait Commission 40, sous Reagan c'était la Commission PI 40. Pendant toutes ces années, il n'y a que le nom qui a changé.
En 1955, on s'est aperçu que les aliénigènes avaient trompé Eisenhower, ils avaient enfreint l'accord. Dans plusieurs partie des États-Unis on a retrouvé des cadavres mutilés. On suspectait les aliénigènes de ne pas avoir communiqué à MJ12 toutes les listes des personnes avec lesquelles ils étaient en contact ou qu'ils avaient emmenées avec eux. On craignait que certaines ne réapparaîtraient jamais. On les soupçonnait de collaborer avec l'Union Soviétique, ce qui était vrai.
On a pris conscience du fait que les aliénigènes utilisaient une grande quantité d'êtres humains pour l'observation, qu'ils se sevaient pour cela de sociétés secrètes, de magie, d'occultisme et de religion. Après plusieurs batailles aériennes entre chasseurs de l'US Air Force et vaisseaux extranéens, les Américains ont dû admettre que leurs armes étaient moins performantes que celles de leur adversaire.
En novembre 1955, une nouvelle directive, la NSC 5412/2, a été adoptée, elle créait une commission qui devait se consacrer à « tous les facteurs qui permettent d'établir et d'exécuter des lignes de conduites dans la politique étrangère de l'ère atomique ». Ce qui était évidemment une couverture pour dissimuler le sujet des aliénigènes. En parallèle, Eisenhower avait édicté en 1954 une directive, la NSC 5411, qui avait déjà créé une commission d'enquête sur les agissements des extranéens.
Les premières réunions ont lieu dès 1954, on les appelle Quantico Meetings, d'après l'endroit où elles ont lieu, à la base navale de Quantico. La commission était composée des 35 membres du CFR qui étaient dans le secret et ceux de la JASON Society. Edward Teller va être invité à participer. Brzezinski en a été le patron pendant 18 mois, Henry Kissinger lui a succédé, en novembre 1955. N. Rockefeller a participé régulièrement à ces réunions.

NSC5412/2 n'était donc qu'une couverture, qui devait justifier le fait que des personnes aussi importantes se réunissaient régulièrement.





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